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Egon Schiele : Erhobene rote hand |
au profond des congères
au lit des eaux croupies
au fil des fleuves fous
dans les brumes figées
à travers l'infini céruléen
il y a la main tendue
la même, toujours
la seule, à jamais
immobile et patiente
celle du départ
la même toujours
la seule à jamais
l’unique liberté
formée au premier cri
celle du dernier souffle.
♪ Kaada/Patton : Seule.
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